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LES PROFESSIONNELS DE
SANTÉ, GARANTS D’UN JUSTE
USAGE DES MÉDICAMENTS
Au quotidien, le dialogue avec
les professionnels s’appuie
sur les Délégués Médicaux
et Pharmaceutiques, les
Responsables Médico-Scientifiques
rattachés au département Médical
ainsi que les Responsables Grands
Comptes et les Responsables
Régionaux Affaires Publiques,
en relation avec les pharmaciens
hospitaliers. L’objectif est
que tous les professionnels
bénéficient de l’information la
plus complète pour étayer leurs
décisions. Ce qui suppose la
diffusion de données objectives
sur les produits commercialisés,
mais également sur leur
environnement : essais cliniques,
études observationnelles, études
pharmaco-économiques… Autres
canaux incontournables du
dialogue entre entreprises du
médicament et professionnels :
l’Information Médicale (service
joignable par téléphone ou par
email 24h/24 et 7j/7), ainsi que le
système de pharmacovigilance et
le traitement des réclamations.
UN DIALOGUE QUI
S’APPROFONDIT
ET SE DIVERSIFIE
La conviction de Bristol‑Myers Squibb
est en effet que les mutations
à l’œuvre dans le domaine de
la santé induisent de nouvelles
formes de dialogue. Améliorer
la prise en charge des patients
implique par exemple que
les passerelles entre la ville
et l’hôpital soient facilitées.
Bristol‑Myers Squibb s’efforce
d’y contribuer en créant des
opportunités de débat. C’est ainsi
que les premiers États Généraux
des Opioïdes, organisés en 2009
par la Division UPSA-Douleur,
ont permis à plus d’une centaine
de professionnels, opérant en
ville et à l’hôpital et relevant
de 8 spécialités (anesthésistes,
rhumatologues, chirurgiens
orthopédiques, neurologues,
psychiatres, internes, médecins
généralistes et pharmaciens
d’officine), d’échanger sur la
problématique de prescription
des opioïdes. Autre innovation :
la volonté de construire un outil
de transparence, synthétisant, à
travers quelques données clés,
le contenu effectif de la relation
entre Bristol‑Myers Squibb et un
établissement hospitalier donné.
Les premiers rapports d’activité
ont ainsi vu le jour en 2009,
avec l’ambition d’être étendus et
pérennisés dès 2010 vis-à-vis de
l’ensemble des CHU.
DE NOUVELLES INITIATIVES
Le partage de données
épidémiologiques fines entre toutes
les parties prenantes - Assurance
Maladie, autorités de santé, réseaux
de soins, associations de patients,
médecins et pharmaciens - est
également de nature à favoriser
l’amélioration de la prise en charge
d’une pathologie.
Le travail de collecte et d’analyse
des données réalisé en 2009 par
Bristol‑Myers Squibb sur le diabète
de type II, une maladie chronique
en forte croissance, dont les
complications sont sources de coûts
médicaux et sociaux importants,
permet de disposer désormais d’une
cartographie de la maladie et de
ses impacts à l’échelle régionale.
Un état des lieux qui permet alors
d’initier une réflexion collective sur
les actions correctrices à engager.
La santé est un sujet qui
appartient à tout le monde.
En prenant une importance
économique, sociale et sociétale
croissante, les enjeux de santé
sont devenus des sujets de débat
public. Quel est le juste prix des
médicaments ? Comment garantir
une information loyale pour un
juste usage des médicaments ?
Comment permettre l’accès aux
soins à un coût supportable pour
la collectivité ?
Ces débats impliquent une
multitude d’acteurs : patients et
professionnels de santé, autorités
de santé, experts, associations,
médias et entreprises du
médicament. Bristol‑Myers Squibb
doit ainsi trouver sa place dans
cet environnement complexe et
en pleine mutation, être à l’écoute
de ses parties prenantes, essayer
de comprendre les attentes et
d’y répondre, dans un contexte
réglementaire et organisationnel
évolutif.
Pour améliorer la prise en charge de
certaines maladies, l’urgence se situe
parfois au stade du dépistage. Ce constat
a conduit Bristol‑Myers Squibb à soutenir
SOS Hépatites dans le déploiement d’une
campagne de sensibilisation directe du
grand public sur l’hépatite B (affichage,
brochures et site internet hepBinfo.fr).